Nico à l'opéra (suite de la 2e partie) Le mec est sympa, il s'attarde assez pour laisser le temps à Nico de refermer sa braguette. Heureusement qu'il n'avait pas tout sorti ! Le mec passe en lui faisant un clin d'œil. Puis les vieux du premier rang. Nico est quand même suffisamment gêné pour hésiter à sortir aussi. Mais, il a trop besoin d'aller pisser. Comme d'habitude, aux chiottes, il y a foule et, comme d'habitude, il rejoint la loge alors que le spectacle a déjà repris... La salle est dans l'obscurité totale, la loge aussi. Il va direct pour reprendre sa place sur la banquette. Mais il manque de s'étaler avant de s'assoir. Une main le retient par le ventre juste à temps pour ne pas se vautrer. Et puis elle l'amène lentement vers la banquette. Il se retrouve à côté du mec qui a pris sa place. Il sent son bras large contre le sien. "Désolé, je ne t'avais vu dans le noir. - Shhh... Et il sent qu'on lui défait à nouveau son jean. Il jette un coup d'œil rapide vers le mec. Il devine son visage tourné vers la scène. Mais sa main se ballade bien sur son paquet ! Oh merde, se dit-il. Qu'est-ce que c'est que ce bordel ? Mais, il sent maintenant la main un peu calleuse du culto qui lui caresse la bite à travers son slip. Le geste est doux et ferme, sûr de lui. Nico panique un peu, mais il n'ose pas bouger. De toutes manières, son bras est bloqué par l'épaule du mec qui le plaque contre la paroi de la loge. Timide, il glisse son autre main sur l'avant-bras qui le caresse. Il sent parfaitement les muscles qu'il admirait tout à l'heure saillir sous la peau douce. Les doigts du mec remontent ensuite sur ses abdos et essayent de se glisser sous son slip. Ils avancent lentement sur son pubis et descendent à la base de sa bite. Il bande déjà bien et la paume un peu rude de la main sur sa queue lui donne des petits frissons. Le mec empoigne sa bite et commence à le branler doucement. Nico se retient de ne pas soupirer de plaisir. La sensation est vraiment bonne ! De son autre main, le mec a guidé celle de Nico qui caressait son bras sur son paquet. Nico le touche à son tour et découvre l'ampleur du paquet du mec. Il sent sa bite turgescente, pas encore tout à fait raide, encore un peu molle et repliée sous le tissu doux du pantalon. Il trouve facilement la braguette et la descend. Il se glisse à l'intérieur et continue à malaxer la bite qui durcit sous ses doigts. D'un mouvement leste qui surprend Nico, le mec s'accroupit devant lui et plonge la tête entre ses jambes. Un peu effrayé, il jette des regards dans tous les sens, heureusement, la musique est tellement forte que personne ne peut les remarquer. Le mec a complétement sorti le grosse queue de Nico et a commencé à le sucer. Nico se tortille de plaisir, les mains plaquées sur les larges épaules du mec. Nico est tellement excité par la situation qu'il sent qu'il va venir super vite... Mais il ne voudrait pas niquer la chemise du mec non plus... Mais il le suce tellement bien qu'il ne veut pas non plus que ça s'arrête ! Alors, il le prend par la tête et lui encule la bouche, rapidement, frénétiquement. Le mec se branle en même temps. La musique est de plus en plus endiablée. Leurs mouvements suivent le crescendo du final... Et, d'un coup, Nico se retire et laisse jaillir sur son tee-shirt un jet énorme de foutre. Il atteint même le velours derrière et sur la banquette ! Dans l'obscurité, il devine le visage grimaçant du mec qui va jouir aussi. Il se branle silencieusement mais efficacement. Et se vide sur la moquette au moment où l'orchestre explose. Un silence dans la salle. Ils n'osent plus bouger non plus... A part les doigts du mec qui essuie le sperme de Nico sur son tee-shirt et le porte à sa bouche. T'inquiètes, j'en ai un de rechange, souffle Nico quand la musique reprend. Doucement, le mec se relève, referme son pantalon et se rassoit à côté de Nico. Il devine son souffle qui se calme. Nico passe rapidement un tee-shirt propre qu'il a dans ses affaires de sport. Le spectacle se finit. Ils sortent ensemble, rapidement. Et explosent de rire dès qu'ils sont dehors.
Nico à l'opéra (suite de la 1ère partie) Dans la loge, Nico retrouve le mec à sa place. Résolu, Nico reste sur la banquette du fond. Pendant que le spectacle recommence, il s'étend bien plus confortable que sur sa chaise. Il a le mec de trois-quart maintenant. Comme d'habitude, il fait de plus en plus chaud dans ces petites boites de velours. Le voisin, toujours bien droit, commence à retrousser sa chemise. Nico suit chacun de ses mouvements lents et précis. La manchette bien repliée dégage un poignet fin puis un avant-bras de plus en plus large où des muscles affleurent la peau et se déploient en gerbe. L'opération devient délicate au coude, il arrive à faire passer la manche mais s'arrête là. Aucun moyen de passer le biceps... Trop gros ! Nico a suivi tous les gestes et s'est imaginé relever lui-même le tissu, caresser la peau sombre au passage, apprécier la croissance des muscles de l'avant-bras. Et pendant tout ce temps, il se touche le paquet à travers son jean. Sa gaule n'a pas molli ! Au contraire, il remplit son slip au maximum. Juste, il espère ne pas lâcher un râle inconscient. C'est tellement chaud de bander à l'opéra ! D'habitude c'étaient les danseurs sur scène qui réussissaient à l'exciter. Mais là, le spectacle était juste à côté de lui. Encore meilleur ! Pas de collant, de costume ridicule et de faux paquets. Mais un vrai corps, lourd et classe, qu'il devine dans la pénombre, sans se faire remarquer. Putain, juste ce striptease des bras l'avait rendu raide comme un dingue ! Il a la main dans le jean maintenant, le premier bouton défait, caressant sa bite tendue. Pourtant, le mec ne fait rien, ne bouge pas, suit le spectacle impassible. Il remonte parfois ses manches et se caresse furtivement le biceps ou pose sa main sur sa cuisse. Et chacun de ses mouvements anodins excite encore plus Nico, qui a perdu toute idée du déroulé du spectacle. Et tout d'un coup, la salle se rallume, les applaudissements éclatent et il a toujours la main enfouie dans son fute complètement défait. Le mec se lève et se retourne, le voit comme ça. Et sourit.
Nico à l'opéra (1ère partie) "Tu te rappelles comment on s'est rencontrés ?" Nico et Luis sont à la salle. Comme d'habitude, ils passent plus de temps à discuter qu'à se muscler... au grand désespoir de Luis ! Nico vient de faire sa série de cuisses mais ne laisse pas la place à Luis - il sait qu'il déteste les cuisses ! Allongé, les jambes écartées, il lève les yeux vers son pote appuyé sur la machine. Ses belles épaules rondes se relèvent contre ses oreilles, ses énormes biceps sont larges comme des pamplemousses même au repos comme ça. Bien sûr il se souvient ! Un soir à l'opéra, il est en fond de loge. Comme d'habitude, il est arrivé en retard, juste au moment du levé de rideau. La salle est déjà plongée dans le noir. Il prend la dernière chaise en essayant de faire le moins de bruit possible, l'ouverture a commencée. Mais bien vite, il comprend qu'il va avoir le problème des fonds de loge ! Le mec devant lui va lui boucher toute la scène. C'est pas que se soit un géant, mais il a le dos le plus large que Nico ait jamais vu ! Ses épaules débordent de chaque côté de sa petite chaise et occupent tout son champ de vision. Le rideau se lève et d'un coup, la salle est illuminée. Le mec porte une chemise blanche à fines rayures. Il les voit souligner toutes les courbes de ses trapèzes, s'enrouler autour des épaules et des biceps comme des lianes. Le tissu est tendu sur toute la silhouette du mec qui reste immobile, concentré. Comme prévu, Nico ne voit rien de la scène, à part les cintres ! Au moins, il profitera de la musique se dit-il d'abord. Bizarrement, il n'essaye pas de demander à son voisin de ses décaler un peu. Pendant toute la première partie, ses yeux sont restés scotchés sur le dos de son voisin. Ils ont suivi toutes les lignes de la chemise et les plis du tissus. Ils ont guetté le moment des applaudissements pour voir enfin bouger ses bras pour évaluer leur taille. Putain ! Un vrai bodybuilder le mec... se dit Nico quand il voit son voisin déployer ses dorsaux et claquer des mains. Puis, c'est l'entracte. Le mec se lève et Nico, resté assis pour le laisser sortir, voit passer juste au niveau de ses yeux le cul le plus formidable qu'il ait jamais vu ! Moulées dans un pantalon de costume, les fesses du mec sont fabuleuses ! Sous une taille ultra fine, elles glissent doucement sous le tissu et forment une silhouette parfaite. Elles sont tellement bien proportionnées qu'elles semblent normales alors qu'elles sont grosses comme des ballons de foot ! Immédiatement, Nico regrette cette comparaison nulle, mais c'est la première image qui lui soit venue à l'esprit... Deux ballons de foot bien lisses enfermés dans un costard. Le truc le plus sexy au monde selon lui. Mais le mec est passé. La vision a été fugace. Il s'en veut, aurait aimé lui dire qu'il était derrière et qu'il ne voyait rien... Le souffle coupé. Nico sort à son tour et se dit qu'il pourra toujours lui parler au début de l'acte suivant. Dans les couloirs, il traîne, ayant abandonné l'idée de prendre un verre vue la cohue au bar. La foule parisienne est à son comble, à moitié retraitée et à moitié folle. A part son voisin. Il le repère facilement au milieu des gens, plongé dans la lecture du programme. Personne n'est aussi musclé, même les cadres de la culture. Avec ses vêtements classiques et bien coupés, son corps s'impose. Et les regards s'attardent. Nico voit bien qu'on le dévisage. Et les regards semblent se demander ce qu'un mec comme ça fait ici... Comme s'il y avait une règle non écrite que les bodybuilders ne devaient pas sortir de la salle de gym. D'autres regards entendus semblent dire qu'il attend le vieux qui l'a payé pour la soirée. Nico, lui, voit enfin son voisin de face. Ses pecs qui tendent sa chemise, ses biceps parfaitement dessinés, son ventre hyper plat, ses cuisses larges qui se frottent sous l'entrejambe... Et il réalise qu'il bande sérieusement.