Il n’avait jamais
senti de lèvres de black sur sa bite. L’effet est immédiat, ses 21 cm se redressent dans la bouche d’Ulysse qui ne moufte pas et continue de le
sucer à pleine langue.
Il ne quitte son sexe
que le temps de retirer son tee-shirt. Il le reprend en le branlant de tout son
long alors que son autre main plonge dans son survêtement.
En baissant les yeux,
Nico découvre les épaules énormes et brillantes d’Ulysse et son biceps droit
qui se gonfle et vient frapper son pec à chaque fois qu’il le branle. Le
vendeur s’affaire avec plaisir tout du long de la queue de Nico, il l’avale
sans problème et se l’enfonce à loisir dans la gorge.
De sa main gauche,
Ulysse se branle mais Nico ne parvient à voir sa queue, cachée en-dessous de la
sienne.
La salive dégouline le
long de sa tige et Ulysse l’étale consciencieusement. Nico
devine le cul du mec qui se tend sous son
jogging, large et rond.
Un autre fond de gorge
bien planté et Ulysse se retire, les lèvres brillantes de sa salive. Il plaque
ses deux mains sur les hanches de Nico et le retourne d’un coup. Il descend son
jean et son slip en même temps, et attire le cul de Nico sur sa bouche.
Nico ne peut retenir
un râle de plaisir lorsqu’il sent les lèvres d’Ulysse sur sa rondelle et,
rapidement, sa langue pointue qui cherche à le pénétrer.
Les deux mains contre
le miroir, les yeux dans ses yeux, il appuie de toutes ses forces son cul
contre la gueule du vendeur. L’autre le tien par les couilles et plonge avec de
gros bruits humides entre ses belles fesses musclées. Il sent le souffle de son
haleine et de ses narines contre ses muqueuses, puis la douceur des lèvres et
de la langue d’Ulysse qui lui fait oublier la terrible pression sur ses
couilles.
Le front contre la
glace, il baisse le regard entre ses pieds et aperçoit l’énorme bite d’Ulysse,
le gland rose dressé et mouillé.
Un moment de panique
le fait se redresser, mais il est immédiatement ramené par les couilles contre
le visage du vendeur, ce qui le fait pousser un cri entre le râle et la
douleur.
« Vas-y, bébé,
crie, on est les seuls dans le magasin maintenant… »
Ulysse s’est relevé en
disant ça. Nico voit le jogging tomber sur ses pieds et avant qu’il ai le temps
de moufter, il se fait pénétrer - direct.
Nico s’effondre contre
la glace et pousse un long cri de douleur au fur et à mesure qu’il sent la bite
d’Ulysse s’enfoncer en lui. Ce n’est pas tellement le diamètre de la queue qui le
pénètre qui le fait réagir comme ça, c’est sa longueur, il a l’impression que
l’avancée d’Ulysse dans son cul ne s’arrête jamais !
Jamais il n’a pris
encore une queue aussi longue et la sensation est incroyable quand il sent
enfin les couilles d’Ulysse frapper contre les siennes. Il visualise très bien
son gland rose à l’intérieur, venant défoncer ses profondeurs à un endroit où
jamais personne n’est déjà venu ! Et le plaisir est énorme !
Les deux mains sur ses
hanches, Ulysse le pilonne sans merci et Nico entend ses râles de plaisir
gronder de plus en plus fort. Il le remplit à fond avant de se retirer jusqu’à
la limite de son gland, puis il replonge.
Il varie les rythmes,
joue avec sa rondelle avant de revenir titiller ses entrailles. Il aime bien
rester enfoncé et bouger son bassin en cercles comme pour l’élargir encore
plus.
A un moment, alors
qu’il est entièrement en lui, Nico sent les abdos puis les pecs d’Ulysse venir
se coller contre son dos. Il sent la sueur chaude, les tétons durs et les
bosses régulières de son 8-pack frotter contre sa peau douce. Toujours à fond
dans lui, il l’enserre de ses deux bras et le compresse de toutes ses forces
alors qu’il se lance dans une série de mouvements frénétiques de son bassin.
Nico crie de plus en plus fort sous le poids du corps d’Ulysse qui le laboure
comme jamais.
Il sent tous les
muscles gonflés et durs comme du béton contre son torse et tout le corps
d’Ulysse travailler à le défoncer.
Nico ne sent plus sa
rondelle à force d’être dilatée, mais il bande comme un âne. Ses couilles
valsent dans tous les sens sous les coups d’Ulysse qui maintenant le plante à
grands coups violents. A chaque fois, une étincelle lui traverse tout le corps
et il sent que l’orgasme monte d’un cran à chaque fois.
Comme s’il avait senti
l’imminence de la jute de Nico, Ulysse se retire et s’effondre sur la banquette
de la cabine. Nico se retourne et trouve sous ses yeux le corps immense et
brillant de sueur du vendeur. Les cuisses
énormes écartées de part et d’autre de sa queue dressée qui frôle les 25 cm
à son avis.
Il agite sa queue en
regardant Nico dans les yeux, comme pour dire « Allez, c’est pas fini,
mec. Je suis pas à deux doigts de jouir, moi ! ».
